Hier la mer était trop agitée, trop de vagues et de vent pour pouvoir faire de la plongée sous marine. Ce matin, ce n’est pas encore le calme plat, mais moins de vent et surtout plus de vague dans le lagon, protégé par sa barrière de corail que l’on aperçoit au loin, les vagues de la mer des Caraïbes se brisant dessus. Le responsable de la réception nous indique que c’est les États Unis qui nous envoie le froid, ils sont vraiment responsables de tout.
Nous changeons de chambre passant de la 44 à la 22, petit bungalow espacé de 10 m de ses voisins, construction plus vétuste mais beaucoup plus sympa et charmante. A 5 m des transats et 10 de la grande turquoise. Par contre pas de possibilité de plongée encore aujourd’hui la visibilité ne le permettant toujours pas malheureusement.
La journée passe vite à ne rien faire, c’est un luxe que nous ne nous permettons presque jamais toujours pris par la gestion de notre vie quotidienne. Mais ici rien pas d’Internet, de téléphone, de gestion de problème, même la télé nous ne l’allumons pas. Rien, juste les transats, la chambre, le restau, les transats, la chambre une ballade sur la partie ouest de l’île, elle aussi autrefois exploitée, et retour transat, chambre, ma première noix de coco,… Rien, rien, rien. Valérie lit son livre et moi j’écoute de la musique !
Ce soir nous avons réservé deux langoustes, une énorme à 20 Cuc l’autre un peu moins énorme à 17 Cuc.
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